La beauté. Quand les hommes travaillent ensemble, pour construire ce qui nous fait vibrer, admirer, vivre. Cela faisait longtemps que je n’avais rien publié ici : j’avais pourtant plusieurs sujets en projet. Mais cette nouvelle guerre, une de plus, pour les intérêts de quelques puissants qui envoient comme toujours les autres tuer et se faire tuer, avait rendu dérisoires toutes ces choses que j’aime d’habitude partager avec vous.
La beauté. Quand les hommes dansent.Quand ils dansent ensemble. Ce que j’aime dans ce qui suit, c’est la fluidité de ces deux corps qui savent se rejoindre et s’épouser. Ce sont ces mouvements impeccables de tout un groupe où chacun ne fait plus qu’un avec les autres. Ce sont ces moments où vient un enchaînement auquel on ne s’attendait pas, petits moments de grâce, imaginés par un chorégraphe, avec ses danseurs. Voici quelques exemples de ce qui me touche dans le travail de Juliano Nunes, avec des compagnies et des danseurs du monde entier. Hommes ensemble, hommes et femmes ensemble, dans leurs justaucorps et tutus semblables.
Me revoici par ici, après un long silence ! Avec, comme souvent, la bande annonce d’un film qui vient de sortir (et que je n’ai pas encore vu, comme d’habitude). Un sujet qui peut parler à certains, Virginie Efira toujours aussi juste dans ses rôles. Et un français qui va vite, très naturellement, parfait pour vous qui avez envie de tout comprendre de notre langue.
C’est l’occasion aussi pour moi de vous raconter qu’hier, après m’être occupée toute ma vie des enfants des autres, mais en tant que prof, depuis l’âge de 23 ans, j’ai eu mes derniers étudiants et donné mon dernier cours ! Et aujourd’hui, c’est mon premier jour d’une retraite bien méritée, comme on dit !
Alors, cela va sans doute me laisser plus de temps pour m’occuper du français des autres, sur ce blog ! Il faut aussi que je réfléchisse à ce que je vais faire de mon autre site, France Bienvenue, sans mes équipes d’étudiants qui se sont succédé au fil des années universitaires. Affaire à suivre, en espérant que vous êtes toujours partants !
Pour regarder la bande annonce, c’est ici. Et au cas où vous n’y auriez pas accès de là où vous vivez, voici juste le son. Moins bien évidemment. Mais c’est mieux que rien :
Transcription – Bon, allez, vous pouvez tous sortir, dans le calme (1), s’il vous plait (2). – Et toi, Rachel, pour les stages (3), tu as rendu le tableau ? – Ah non, j’ai pas rendu le tableau. Mais j’ai quelqu’un. – Une description ? – Grand, 1 mètre 95. – Je suis amoureux de toi. – Et une petite fille de quatre ans. – Et il est parti ? – C’est elle qui l’a quitté. – Je pose une question. – Papa, tu vieillis mal (4), hein ! – Je veux la rencontrer. Je veux rencontrer Leïla. – ça a rien d’évident (5), tu sais. Les enfants des autres, parfois… – Bonjour. – Leïla. – Tu as quel âge, Leïla ? – Quatre ans et demi (6). – Ouah ! – Je peux te faire un petit bisou (7) ? – ça va , mon coeur (8) ? – Oui ! – Bonjour Alice. Moi, je suis Rachel. – Maman ! – Bonjour Rachel. Bah alors, oui, les bisous, les bonjours à Rachel ? – Pourquoi Rachel, elle est tout le temps là ? Moi, je veux qu’elle s’en aille. (Chanson de Françoise Hardy : Mais si tu crois un jour que tu m’aimes…) – Elle a cinq ans ! Je vais pas t’apprendre qu’à cet âge-là, ça veut strictement rien dire. – On dirait que tu fais semblant de pas comprendre que je m’attache à elle (9). – A la fin de la journée (10), c’est vous son père et sa mère, pour toujours. Je resterai (11) une figurante (12). – Tu exagères. – Je me sens piégée. – Moi aussi, je suis piégé. – Tu veux encore des enfants ? Pas de problème, c’est quand tu veux, toi. Tu es piégé de quoi, toi ? Pour moi, c’est trop tard. – Si vous voulez un enfant, c’est maintenant. – Oui, on verra. La vie est courte et longue. – Oui, la vie est longue.
Des explications
dans le calme : sans agitation, sans faire trop de bruit. C’est l’expression consacrée dans les écoles, les collèges et les lycées. On n’utilise pas « calmement » aussi naturellement. Par exemple : travailler dans le calme – sortir / entrer dans le calme – s’installer dans le calme
s’il vous plait : on peut adopter cette orthographe ou l’orthographe d’origine, avec un accent circonflexe : s’il vous plaît.
un stage : une période d’immersion dans une entreprise, sans être salarié de cette entreprise. Dans l’enseignement secondaire, les élèves en France doivent faire un petit stage pour découvrir le monde professionnel.
Tu vieillis mal : tu deviens intolérant, désagréable en vieillissant.
ça a rien d’évident : c’est compliqué
quatre ans et demi : on n’accorde pas demi car il est avec un nom masculin (un an). Il s’accorde quand il est après le nom et si ce nom est féminin : une heure et demie. (Mais on écrit une demi-heure et midi et demi). Beaucoup de Français se trompent car il faut reconnaître que c’est un peu subtil… et que ça ne sert pas à grand chose!
un bisou : c’est le terme employé par les enfants pour parler d’une bise. Mais beaucoup d’adultes l’utilisent, et pas forcément avec des enfants. On peut terminer une lettre, un mail par : Bisous / Gros bisous, si on est ami ou proche de cette personne. C’est plus intime que Bises.
mon coeur : c’est une façon affectueuse de s’adresser à quelqu’un qu’on aime. Rachel aurait pu dire aussi : Ma puce.
s’attacher à quelqu’un : se sentir de plus en plus proche de quelqu’un et avoir des liens avec cette personne
à la fin de la journée : normalement, en français, cela signifie vraiment quand la journée se termine. Mais ici, c’est bizarre. Donc je me suis demandé si ce n’était pas un anglicisme (at the end of the day), à la place des expressions naturelles en français : en fin de compte / au bout du compte / de toute façon
je resterai : je ne sais pas si c’est au futur (je resterai) ou au conditionnel présent (Je resterais) car la prononciation est souvent la même, même si on vous apprend qu’il y a une différence. Si c’est un conditionnel, cela indique un peu plus fortement qu’elle ne peut pas se satisfaire de la situation. Les deux marchent en tout cas.
une figurante (au masculin : un figurant) : on utilise ce terme à propos de tous ceux qu’on voit dans un film mais dans un rôle très secondaire, sans rien à dire en général. On emploie aussi l’expression : faire de la figuration. Au sens figuré, cela signifie qu’on n’a pas un vrai rôle, une vraie place dans une situation donnée.
Il y a un mois, j’avais en préparation plusieurs articles pour ce site. Puis très brutalement, l’actualité a bouleversé, encore une fois, la marche du monde, rendant futiles toutes ces petites choses qui font nos vies ordinaires. Cette fois, c’est une guerre, une de plus, une guerre qui a réveillé les souvenirs des guerres mondiales passées et a jeté, comme toujours, les civils dans la terreur et le malheur, pendant que des dirigeants, bien en sécurité, eux, font mourir les jeunes soldats, simple chair à canon, encore et toujours. Encore une fois, on voit se déployer l’arsenal de toutes ces armes conçues pour tuer et détruire – et d’ailleurs, la France peut s’enorgueillir d’être à la pointe de leur développement et de leur fabrication ! Triste gloire. Mais dans quel monde vivons-nous toujours, au XXIè siècle !
Je reviens vers vous pour continuer à partager ces sites qui peuvent vous aider dans votre pratique de notre langue. Cette fois-ci, il s’agit de Néo TV, auquel on peut accéder facilement, directement ou grâce à leur compte Instagram par exemple – sauf dans certains pays bien sûr… Toutes sortes de très courts reportages, bien sous-titrés. Je suis sûre que vous y trouverez votre bonheur car c’est c’est un regard plein de variété sur les Français.
Mais j’avais choisi, il y a environ deux semaines, ce reportage sur un jeune Français qui a des attaches familiales avec l’Ukraine, mais aussi avec la Russie depuis ses études. Beau portrait, qui témoigne de l’imbrication des peuples, des nationalités. Une petite dose d’espérance. Et comme toujours, de jolies expressions, avec mes quelques explications si cela vous aide.
aux aurores : très tôt le matin. L’aurore, c’est le moment où le soleil se lève. On utilise souvent cette expression avec les verbes partir, se lever par exemple.
des produits de première nécessité : c’est l’expression consacrée pour désigner les produits estimés indispensables pour manger, se laver, s’habiller, mais aussi pour faire marcher son ordinateur, etc. On a beaucoup utilisé ce terme pendant les différents confinement dûs au Covid, pour définir les commerces qui pouvaient rester ouverts, par rapport aux commerces dits « non-essentiels », dont les produits n’étaient pas considérés comme de première nécessité.
des plaques internationales : il s’agit des plaques d’immatriculation des voitures et des camions. En les voyant, on sait de quel pays est un véhicule.
ça met un peu de baume au coeur / ça met du baume au coeur : cela réconforte, cela remonte le moral
une petite dizaine de km : environ 10 km, mais pas beaucoup plus en tout cas. On peut utiliser cette expression avec le mot centaine et le mot millier par exemple : une petite centaine de personnes, un petit millier de réfugiés.
l’enlisement de l’armée russe : ce terme indique qu’il n’y a pas de progression décisive et que le conflit s’installe pour durer.
ça me désole : ça me rend très triste
des voitures de convoi : des voitures qui avancent ensemble, en formant donc un convoi
des protections hygiéniques : on dit aussi des serviettes hygiéniques, que les femmes utilisent pendant leurs règles chaque mois.
ça nous a fait un petit déclic : cela nous a tout d’un coup décidés à agir. (Ils ont pris conscience de ce qui se passait.) On dit souvent par exemple : Il a eu le déclic / un déclic et s’est enfin mis à travailler en classe.
anxiogène : qui cause beaucoup d’angoisse
faire un échange : dans le contexte scolaire, cela signifie que des élèves français sont partis passer quelque temps dans un pays étranger, puis les jeunes étrangers sont venus en France. (ou l’inverse)
des amis de longue date : des amis qui se connaissent depuis longtemps
une famille d’accueil : une famille qui a décidé d’accueillir, d’héberger des enfants ou des ados. On utilise ce terme dans le cadre des échanges scolaires et aussi pour désigner les familles qui sont habilitées à s’occuper d’enfants dont les parents ont perdu la garde. Et bien sûr en temps de guerre, hélas.
tant que la guerre durera : aussi longtemps que la guerre durera
Pour terminer, voici aussi le lien d’un podcast de Radio France : Guerre en Ukraine. Des journalistes de Radio France, envoyés spéciaux pour couvrir cette guerre, publient tous les jours un podcast d’une dizaine de minutes. Du beau travail de journalisme.
Non, je ne vais pas vous demander comment vous allez, ni ce que vous pensez de ce monde tel qu’il tourne, ou tel que certains le font tourner, au 21è siècle, comme si nous n’avions jamais rien appris de tout ce qui nous précède.
Je vais juste modestement continuer, pour le moment, à vous parler du français et vous demander, si vous aussi, vous avez remarqué ce problème de conjugaison lorsqu’une phrase contient le pronom personnel vous et un verbe du premier groupe juste à côté. Je vous en donne seulement trois exemples que j’ai rencontrés mais si j’en parle, c’est que je pourrais vous en montrer d’autres car vraiment, cette faute devient monnaie courante (1) dans notre langue :
Cela a commencé avec cette recette. Les réseaux sociaux, il faut bien le reconnaître, ne sont pas le meilleur endroit pour apprendre l’orthographe. Donc pas de réelle surprise.
.
Puis ça a continué dans un email. Un email professionnel.
.
Et maintenant, ça arrive aussi sur des sites très officiels, ou dans des journaux. Et ici, deux fois coup sur coup (2) !
. Bien sûr, le français est compliqué, avec ses conjugaisons et ses accords. Bien sûr, quand on est petit et qu’on apprend à conjuguer, en commençant par les verbes du premier groupe, on retient que le verbe prend la terminaison -ez lorsque le sujet est le pronom vous : vous donnez, vous lancez, vous souhaitez. Et on sait que le verbe avoir devient vous avez. Mais que se passe-t-il pour que certains se mettent à faire ces grossières erreurs ?
A l’origine de cette faute qui se répand, on trouve principalement deux choses : – le même son pour la terminaison -er et la terminaison -ez – le fait qu’en français, les pronoms compléments peuvent être avant le verbe qu’ils complètent.
Dans les exemples ci-dessus, c’est donc la présence de vous juste avant un verbe du 1er groupe ou juste avant avoir qui entraîne ce mauvais accord. Pourtant, à défaut de (3) comprendre comment les phrases sont faites et quel est le rôle de chaque mot (sujet, verbe, complément), c’est très simple d’être vigilant et de penser à faire, si on n’est pas très sûr de soi, ce qu’on apprend normalement à l’école primaire : remplacer par des termes pour lesquels il n’y a pas d’équivoque possible, ou reformuler.
Je vous avais posté : normalement, la prononciation entre avais et avez est différente. Mais selon la région ou on habite, l’accent peut changer. Dans le sud notamment, les gens prononcent ces deux mots comme avez, ce qui ne les aide pas à éviter cette faute. Il suffirait donc d’enlever vous et de dire simplement : J’avais posté une recette pour vous. Dans ce cas, on peut espérer que personne n’écrirait : j’avez ! (Bon, je ne n’en mettrais pas ma main à couper (4), tout est possible !)
pour vous souhaiter / envie de vous lancer / nous allons vous donner : il suffit de remplacer les verbes du 1er groupe par des verbes d’un autre groupe – vendre, recevoir, dire, etc. – et dire par exemple : pour vous vendre, envie de vous dire, nous allons vous recevoir, ce qui nous montre bien qu’il faut un verbe à l’infinitif.
Et si jamais c’était un problème avec des correcteurs orthographiques automatiques qui ne savent pas aussi bien réfléchir que nous pour le moment, la seule solution, c’est de se relire attentivement.
Quelques expressions :
devenir monnaie courante : devenir très habituel, très fréquent. On dit aussi : C’est monnaie courante.
coup sur coup : immédiatement l’un après l’autre
à défaut de faire quelque chose : au cas où où on ne ferait pas quelque chose (alors qu’on devrait)
Je n’en mettrais pas ma main à couper : je n’en suis pas certain(e) du tout. On dit aussi : Je n’en mettrais pas ma main au feu. (qui est d’ailleurs l’expression d’origine)
Je continue à partager avec vous ces lieux sur internet que j’aime beaucoup et si riches à tous points de vue, comme je l’ai expliqué il y a quelque temps dans un billet précédent.
« L’art de vous ouvrir à la culture » : c’est ainsi que France TV Arts décrit sa raison d’être et nous propose des documentaires sur des sujets variés sur la plateforme France TV. Mais il suffit d’aller sur leur compte Instagram pour regarder de courtes vidéos. Et comme les autres sites dont je vous ai déjà parlé, tout ce que disent les personnes interrogées est sous-titré. Et cela alterne avec du texte. C’est vraiment très riche.
J’ai regardé cette courte vidéo sur la sculpture de Degas, La Petite Danseuse de quatorze ans, que j’avais vue au Musée d’Orsay. Et ça a été une vraie découverte sur la façon dont ce qui est considéré aujourd’hui comme un chef d’oeuvre a été reçu à l’époque. Le conservateur des sculptures du Musée d’Orsay, en quelques minutes, rend passionnante cette histoire. Histoire esquissée de la danse et d’un milieu social. Histoire de théories sociales qui avaient cours au 19è siècle. Histoire aussi de la place des femmes. Et détails techniques et artistiques sur la création de cette oeuvre.
L’autre devise de FranceTV Arts, c’est « l’art sous toutes ses formes« . Et c’est exactement ça : cinéma, littérature, peinture, photographie, musique, etc. Une grande diversité de sujets à explorer, d’hier et d’aujourd’hui, qui donnent toujours envie d’en savoir plus. Un régal.
effaroucher quelqu’un : faire peur à quelqu’un. Les gens de l’époque ont été effarouchés, c’est-à-dire qu’ils ont été choqués.
les coulisses de la danse classique : le contexte général, ce qu’on ne voit pas au premier abord et qui peut nous permettre de mieux comprendre. C’est un terme qui vient du théâtre, pour désigner le lieu derrière la scène.
être à la merci de quelqu’un : ne pas avoir de liberté de choix face à cette personne et donc dépendre d’elle.
les faveurs sexuelles : cela signifie en fait que la personne se prostitue
Ils n’ont pas manqué de… = ils l’ont fait. C’était certain qu’ils allaient le faire.
avoir recours à quelque chose : utiliser quelque chose
Des expressions avec le verbe faire : – faire l’unanimité : être approuvé par tout le monde. Donc ne pas faire l’unanimité signifie que certains critiquent quelque chose : une oeuvre d’art, un film mais aussi par exemple une décision, un choix. On dit par exemple : C’est une décision / une mesure qui ne fait pas l’unanimité. – faire scandale : susciter un scandale, choquer
La curiosité éveillée par cette vidéo m’a rappelé qu’il y a quelques années, était paru un livre de Camille Laurens, La Petite danseuse de quatorze ans. Je pense que je vais le trouver dans une des bibliothèques où je suis inscrite, à Marseille ou dans l’Aveyron.
J’avais oublié ! Douze ans, jour pour jour, ça commence à faire !
.
Je n’avais pas regardé en arrière fin décembre pour dresser un bilan de l’année écoulée comme il est d’usage, parce que je n’avais pas été très assidue sur ce site. Mais j’ai reçu aujourd’hui ce message de WordPress. Et cette fois, c’est un bilan beaucoup plus long ! Et je me suis dit : Tiens,12 ans,ça commence à faire ! Et si en plus, je pense à certains d’entre vous qui me lisent ici depuis le début ou presque, je suis encore plus agréablement suprise ! 😉
A force, ce site a voyagé, depuis son premier jour. Elle est bien sympathique, cette carte !
.
Alors, en ce jour d’anniversaire, pour ne pas faillir à l’une des idées à l’origine de ce blog, voici deux expressions courantes et plutôt familières : – ça commence à faire : familièrement, cela indique donc qu’on estime que cela fait longtemps que quelque chose existe. On en est presque étonné, c’est comme si tout d’un coup, on prenait conscience du temps écoulé.
– ça commence à bien faire : il ne faut pas confondre avec cette autre expression qui semble pourtant très proche. Tout est paradoxalement dans le « bien ». Celle-ci exprime un agacement. On en a vraiment assez de quelque chose qui se prolonge ou se répète et on perd patience. Ce n’est donc pas du tout ce que j’ai pensé !
Merci à vous qui passez par ici, que ce soit depuis 12 ans ou depuis quelques jours. Et à bientôt pour la suite !Il y a encore de quoi faire et de quoi dire.