Je n’ai pas l’utilité de Facebook. Mais pour rester en contact avec Léon Vivien, il n’y avait pas d’autre moyen que de cliquer « J’aime ». C’est que Léon est parti à la guerre en 1914. Et il raconte sa guerre, au jour le jour.
Compte fictif pour un vrai récit, à suivre depuis une dizaine de jours, jusque mi-mai. Une manière de ne pas perdre la mémoire imaginée par le Musée de la Grande Guerre de Meaux.
Surprenant.
D’actualité, hélas, car il y a toujours des Léon Vivien aujourd’hui, engagés dans les différents conflits de la planète.
Quelle connerie, la guerre.