Il y a les bruits familiers. Les petits insectes, les pies, un coq dans le lointain.
Et les moteurs des canadairs. Familiers, oui, hélas, en Provence, mais pas en n’importe quelle saison. Alors, quand on les entend un 25 novembre, qu’est-ce qu’on se dit ? Surtout si on sort à peine de plusieurs jours de grosses intempéries qui ont copieusement arrosé la nature.
Je vous écoute… C’est pour voir si vous suivez !
Mais bien sûr ! L’espace d’un instant, on se demande : Des canadairs qui tournent ? Mais comment ça se fait ? Et on sort pour regarder ce qui se passe, comme on le fait en été avec inquiétude les jours de fort mistral.
Voilà, c’était l’entraînement du jour, pour les pilotes à bord de leurs avions, en prévision des incendies de forêt de l’été, et pour vous, aux commandes de votre français !
Bon début de semaine.
Bonsoir Anne,
la commande de français est clair. Il faut s’entraîner pour ne pas faire des fautes.
Quand au bruit, j’adore celui de la nature.
Bonne fin d’année!
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Merci pour ton message, Svetlana, toujours présente ici depuis longtemps.
Puisqu’on est maintenant en 2020, je te souhaite une très bonne année, en retard mais le coeur y est! J’espère que tout va bien pour ton fils et ses études.
A bientôt
Anne
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